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 Au nord ouest les quartiers pavillonnaires du Plessis Robinson et à l'horizon, Clamart où une quinzaine de grues construisent tout un quartier de plus de 10 000 logements

Plein ouest les maisons en face de l'immeuble et notamment une jolie villa avec une petite tourelle, juste en face de ma terrasse.

Puis le début d'un grand parc sur la colline, après le carrefour.
Derrière cette colline il y a l'aéroport militaire de Villacoublay et l'on voit souvent des avions passer très bas, au ras de la colline, pour y atterrir.

           Le suite du parc. Au dessus une antenne, relais de téléphonie et relais hertzien. Nous l'appelons la "crevette", car ses antennes ressemblent à celles du crustacé.
          Ce parc , entre 1890 et 1950 a abrité des "guinguettes", où les parisiens venaient danser le dimanche. Certaines avaient des café logés dans les arbres.
Elles sont malheureusement toutes détruites, et seules quelques peintures de l'époque subsistent sur les murs d'un petit restaurant presque en face de chez nous.

          Des vues autres du parc, sous le givre de l'hiver :

          Une image de la crevette par temps orageux

          Et deux images de la crevette, une nuit de pleine lune

          J'ai sur ma terrasse une dizaine de pigeons qui viennent boire et quémander des graines (malheureusement aussi y laisser des excréments !).
          Quand je en leur ai pas donné de graines, ils viennent près de la fenêtre de la terrasse et, s'ils me voient à l'intérieur, tapent au carreau. Ils attendent perchés sur un pot de fleurs, que je vienne leur donner un peu de tournesol. S'ils ne sont qu'un ou deux, ils les mangeront lentement, mais s'ils sont plus nombreux, il faut éviter que les autres n'en mangent trop et que l'on n'en ait pas assez et chacun se transforme en levier des anciennes machines à écrire, maniées par une dactylo experte.

      Je n'ai que rarement des ramiers; ce sont presque tous des bisets, pigeons de la ville. Mais leurs couleurs sont très diverses et certains ont un plumage chamarré, avec beaucoup de taches noir ou blanches.

          Je les appelle mes "pigeons de Venise", car je trouve qu'ils font penser aux masques du carnaval
          En voici quelques uns :

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          Je voudrais montrer ici ce que l'on voit de sur ma terrasse.
          Sur les photos ci-dessous, le côté Nord.

          D'abord une vue générale

          Puis, en face, environ 100 m plus haut que nous, sur la colline, qui nous cache la tour Eiffel qui est à 10 km environ, les immeubles du centre d'étude du CEA de Fontenay aux Roses. Autrefois il y avait là le premier pile réacteur nucléaire expérimental français ZOE.

          Deux vues de ce que l'on voit sur la gauche,

        Enfin deux vues de ce que l'on voit sur la droite,

   Je poursuis mon tour de terrasse : les arbustes devant la fenêtreêtre du séjour, devant le cèdre ou vers la droite 

     A droite, un genévrier qui était tout petit il y a 25 ans. Maintenant, arrosages et tailles, il est devenu immense et se dispute avec un énorme rosier sauvage aux innombrables fleurs rouges. Le genèvrier est derrière un autre petit rosier, et par terre, des jonquilles jaunes et des jacinthes bleues

     Ci dessous le grand rosier rouge.

     Tout à fait à droite, un grand mimosa d'hiver en pot, que l'on met en serre quand il gèle, et qui a de belles fleurs jaunes tout le mois de mars.

 Il est, avec un citronnier et quelques petites plantes en pot devant une petite tonnelle, et derrière elle, la porte de mon atelier en forme de L, car le petit appentis en briques abrite aussi le moteur et l'armoire électronique de l'ascenseur de l'immeuble qui se trouve sous la terrasse.

     Sur cette photo ci-dessous le mimosa n'était pas encore en fleurs, mais vert avec des grappes de boutons.

          Dans mon atelier, des rangement d'outils de jardinage ou de bricolage, des étagères à fruits et légumes, une cave à vin et des sièges de jardin.

    J'ai oublié un arbuste qui se trouve derrière le cèdre et il faut donc contourner celui-ci pour le voir. C'est un énorme romarin, que j'ai planté il y a 20 ans, et qui a une vitalité extraordinaire. Il fait 1,50 m de diamètre et je suis obligé de le tailler deux fois par an pour que l'on puisse continuer à passer dans l'allée, entre lui et les gardes corps, qui nous empêchent de tomber dans la rue..